RÉSUMÉ
Tome 4 - Dissidente
Bouleversée par la perte d’un être cher et tourmentée par la vision de Nädvak, Lyvia sait que le temps lui est compté pour accomplir son destin. Tandis que sonne l’heure des choix et de l’affirmation de ses convictions, ses amis jeunes Voyageurs et elle se lancent dans un ultime combat : celui pour la paix. Quel prix sont-ils prêts à payer pour défendre leur idéal ? La soif de justice peut-elle triompher de tout, même de leur propre violence ? Alors que l’ombre du Léviathan pèse sur son chemin, Lyvia arpente les terres les plus hostiles d’Héliosis et d’Ombrume, vers l'aboutissement de sa destinée. Trajectoires individuelles et luttes collectives s’entrecroisent, écrivant ensemble l’avenir des trois mondes.
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Le tome 4 de la série Les larmes de Jundur, Dissidente, est disponible sur Amazon aux formats numérique et papier.
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ Coup de cœur absolu !
“Comment vais-je réussir à vous dire combien j’ai adoré ce livre ? Voilà bien longtemps que je n’avais été aussi transportée. Coup de cœur absolu ! J’ai vibré, j’ai eu peur, j’ai tremblé, j’ai ri, j’ai rêvé, j’ai pleuré. […] L’écriture de cette jeune autrice est magnifique, elle glisse sans heurt aucun. Que les phrases soient courtes ou longues, jamais elles n’accrochent ni ne portent à confusion. Le vocabulaire soigné est un pur régal pour l’amoureuse des mots que je suis. Et les images surgissent, vibrantes d’émotion. […] Dans ce quatrième roman, ce récit passionnant gagne de nouveau en ampleur et en intensité, la saga atteint son apothéose. Un compte à rebours terrible s’égrène de page en page, j’ai le sentiment d’avoir lu en apnée jusqu’à cette fin bouleversante.”
— CHRONIQUE DE LAURENCE VARAINE-JARNAC AUTRICE, DÉCEMBRE 2022
Ce qu’en disent les chroniqueurs…
“Cette saga a été une magnifique découverte. J’ai été happé par l’intrigue et les personnages jusqu’au bout. Et quel final ! Ce quatrième tome est dense, très détaillé, pleins d’émotions, de moment intense et brutale. J’ai adoré ! ❤️ [...] Merci infiniment Noémie Delpra pour cette fabuleuse aventure et de m’avoir permis de découvrir le monde des Voyageurs. J’aimerais en faire partie. C’est possible ?”
“Dès le premier chapitre, j’ai senti venir le coup de cœur. [...] L’intrigue est parfaitement menée et il n’y a rien que je n’ai pas aimé. Je ne veux surtout rien dévoiler alors je dirais juste que cette histoire est pleine d’action, de rebondissements, de danger, mais aussi d’émotion, d’amour et d’amitié.
Une saga en 4 tomes que je ne peux que vous recommander.”
“Quelle fin vraiment! Mon petit cœur est tout retourné de quitter Héliosis et Ombrume! [...] C’est un tome très prenant en émotions, en intensité et en développement. [...] Je ne veux pas risquer de te spoiler mais sache que cette saga est magique, forte et intense sur tout les points! Une fois entrée, tu ne voudras plus en sortir! ”
Extraits
“Nageant et agrippant les rochers, Lyvia se précipita vers le rivage, mais elle n’eut pas le temps d’y parvenir. Un tentacule grisâtre ceignit sa taille et la tira violemment en arrière, la faisant replonger sous l’eau. Dans un mouvement de panique, sa main heurta un écueil, et la dague qu’elle maintenait pourtant fermement lui échappa, disparaissant au creux de l’écume. Horrifiée, Lyvia sentit le tentacule enserrer son buste de plus en plus étroitement, jusqu’à ce que la pression devînt insoutenable. Elle se débattit furieusement, tenta d’attraper le membre gélatineux pour l’écarter de sa peau ; rien n’y fit. Ses doigts glissaient vainement sur la texture visqueuse, et l’air venait à lui manquer, tandis que le monstre l’entraînait malgré elle vers les profondeurs.”
“— Quelle meilleure solution as-tu ? Si ce n’est pas par le tranchant des lames, alors comment amène-t-on la paix ?”
“C’est alors qu’elle les entendit. Les lamentations de Jundur. Un chant lancinant, qui s’élevait au plus profond du bois d’Efidre. Une mélodie lugubre, qui venait de nulle part et de partout à la fois. C’était le vent, qui s’infiltrait entre les troncs, qui ployait les branches et craquait le bois. C’était le vent, et pourtant il y avait quelque chose d’indéniablement humain dans cette complainte. Il y avait des sanglots, dans le gonflement des pins ; il y avait une voix, dans la rumeur de l’écorce.”
“Le panorama était spectaculaire, d’une étrange beauté – presque lunaire. Le sol était entièrement recouvert d’une roche volcanique noire, irrégulière, fissurée par endroits. Autour d’eux s’élevaient des dunes de cendre d’un brun sombre, mouchetées de rares touches de vert là où des plantes succulentes ou des buissons épineux avaient réussi à s’établir. Le paysage était étonnamment silencieux, bercé par le souffle régulier du vent qui balayait la plaine et soulevait la cendre dans un ballet hors du temps.
— Allons-y. Le Cœur transpercé est à vingt minutes de marche.”